Avec les années de travail, il est évident que certains chemins se sont dessinés à l’école des Beaux-arts devenu l’Esad pendant mon cursus. J’ai eu la chance de vivre un « entre-deux » riche en changements. La diversité (classique et contemporaine) des techniques, des enseignants, des artistes-intervenants…J’ai tout pris et j’en garde la persévérance, la rencontre avec les matières, l’éveil au sensible.